samedi 21 septembre 2019

Boulevard urbain (tranche 3) : une signalisation déjà en place... et (presque) aux normes

Lu hier dans la presse [1], les travaux de la troisième tranche du boulevard urbain sont en passe d’être achevés l’année prochaine.
Sur l’une des photos, on peut déjà apercevoir des panneaux de direction.
Samedi, je découvrirai la signalisation mise en place. Avec plusieurs questions : quelles sont les mentions retenues, et pourquoi ? Et surtout, les recommandations (ordre des mentions par distance…) sont-elles respectées ?


Voilà plusieurs années que la communauté d’agglomération de Vichy (Vichy Val d’Allier, puis Vichy Communauté depuis 2017) construit une nouvelle route censée améliorer la circulation entre Vichy et Cusset. Après l’ouverture de la première tranche, fin 2013 (entre l’avenue de Vichy au nord et le centre hospitalier Jacques Lacarin au sud) puis de la deuxième tranche en juin 2017 (entre l’avenue de Vichy et le carrefour entre l’avenue Gilbert-Roux, le boulevard d’Alsace-Lorraine et la rue des Bartins au nord — devenu un giratoire en 2017), voilà quelques mois que, de façon inaperçue, Vichy Communauté réaménage le boulevard d’Alsace-Lorraine.
À ce jour, les trottoirs ont déjà été réalisés et un giratoire — ou plutôt, un vrai — vient d’être construit entre ce boulevard et la rue de Romainville.
7 sept. 2019 (19109) – Boulevard d'Alsace-Lorraine débouchant sur un nouveau (et vrai) giratoire (travaux tranche 3 du boulevard urbain)
7 septembre 2019 : voilà à quoi ressemble le giratoire entre le boulevard d’Alsace-Lorraine et la rue de Romainville. Le boulevard sera prolongé au nord jusqu’à Creuzier-le-Vieux en 2020. La signalisation de police est déjà en place.

Et finalement, les panneaux ne sont pas « aux normes » !
On s’attendait à ce que les mentions soient correctes, mais voilà, le résultat est tombé (connu depuis quelques jours). Et la photo va bien sûr figurer dans les bêtisiers sur les forums.
21 sept. 2019 (19170) : c'est du n'importe quoi. Non seulement les indications de distances ne sont pas respectées mais on a aussi inventé une commune
Boulevard d’Alsace-Lorraine, 21 septembre 2019. Les panneaux, implantés il y a quelques jours, ne sont pas réglementaires par l’ordre des mentions.

Non seulement, l’ordre des mentions par indication de distance n’est pas respecté (l’agglomération vichyssoise est plus proche de Clermont-Ferrand que de Montluçon) mais en plus, on a même inventé la commune de St Pourçain s/ Gannat !

Une signalisation pas aux normes !
En 2013, quelques mois avant son ouverture, on a pu retrouver les mentions Thiers / Le Puy dans cet ordre (alors que les communes sont respectivement distantes de 35 et 155 km), tout comme Abrest et Saint-Yorre (3 et 8 km).

254. 15 déc. 2013 – Avenue de la Liberté en direction de Thiers, Le Puy, Abrest, St Yorre, des lycées publics, de l'hôpital, origine de la première tranche du projet. La direction de Cusset (accès interdit PL +7,5 t) est à gauche.
Avenue de la Liberté depuis la D 2209, 15 décembre 2013. Même neufs, les panneaux peuvent ne pas être réglementaires. Thiers est plus proche que Le Puy alors que la règle veut que les mentions sont inscrites de haut en bas par ordre de distances décroissantes.

En 2017, ils récidivent :

16 juin 2017 : jour J de l’ouverture de la deuxième tranche du boulevard urbain.

Comment a-t-on pu en arriver là ?



  1. Pierre Geraudie, «  Le chantier du boulevard urbain de Vichy est rentré dans cette dernière phase », La Montagne, 18 septembre 2019. URL : https://www.lamontagne.fr/vichy-03200/actualites/le-chantier-du-boulevard-urbain-de-vichy-est-rentre-dans-sa-derniere-phase_13643888/ (consulté le 19 septembre 2019).

vendredi 13 septembre 2019

D 906E : rénovation (partielle) de chaussée

Le département de l’Allier va rénover la chaussée de la route départementale 906E, anciennement D 906, entre Abrest et Saint-Yorre. Il s’agit surtout d’une réfection partielle de la chaussée abîmée notamment à hauteur de l’intersection avec la rue de Groumenier, au sud de la comme d’Abrest.
Ces travaux nécessiteront la fermeture de la D 906E du 16 au 27 septembre, avec des déviations.


Cette départementale, toujours très fréquentée malgré l’existence d'un contournement de l’agglomération de Vichy au tracé déroutant, et qui reste dans le réseau des routes majeures — c’est-à-dire réseau routier principal — est empruntée par près de 8 000 véhicules par jour, selon les chiffres 2017 de comptage circulation du département de l’Allier.

À la sortie sud d’Abrest, un panneau avertit les usagers que la chaussée est déformée sur une partie de la route.
En direction de Saint-Yorre, à hauteur du point repère (terrain) 9, la chaussée fissurée (qui peut avoir des conséquences certaines sur les amortisseurs des voitures) impose une réfection. Le département doit donc rénover en urgence la chaussée.
L’état de la chaussée reste toujours préoccupant notamment hors des agglomérations traversées (Abrest et Saint-Yorre) ou l’on aurait bien aimé une réfection complète. Depuis plusieurs années, c’est surtout la traversée d’Abrest qui est la plus difficile (zone 30 — prolongée de plusieurs centaines de mètres au sud il y a quelques mois, à hauteur des 46 et 49 avenue de Thiers — et chaussée dégradée trop tardivement réparée).
La signalisation temporaire est déjà en place.
Dans le centre bourg, ce passage piétons n’a même pas été réparé depuis plusieurs années.
Le même passage piétons, le 28 avril 2013. Voyez-vous une évolution ?
On aurait bien aimé, et surtout, que la signalisation soit remplacée. Notamment les entrées de la ville d’Abrest où le cartouche « D 906E » manque depuis décembre… 2016 (rappelons que les cartouches — que l’on trouve au-dessus des panneaux de direction ou de localisation — ont été remplacés ou l’ont soi-disant été dix mois et demi après les bornes, qui, elles, sont mal placées et non conformes à la version officielle).

À l’heure où j’écris ces lignes, le département de l’Allier n’avait toujours pas mentionné les travaux sur cette route.

Toutes les photos (sauf la dernière) datent du 12 septembre 2019.

dimanche 8 septembre 2019

TER, 8 ans déjà.

Voilà huit ans déjà que j’ai pris le train entre Vichy et Clermont-Ferrand. Un mode de transport alternatif à la voiture qui permet de relier les deux villes en un temps record. Et ce 8 septembre 2019, cela fera huit ans, jour pour jour, que j’ai pu emprunter le premier train TER seul.

Ce n’est pourtant pas la première fois que je prends le train, mais cela faisait bien longtemps, la dernière fois que je l’avais emprunté, c’était au retour de Paris en train Corail (pas Téoz).

Lorsque j’ai été retenu à l’université Blaise-Pascal il a fallu tenir compte de la distance qui sépare les deux villes, et qu’il était impossible de faire le trajet aller-retour Clermont-Ferrand en voiture (d’autant plus qu’à l’époque, je n’avais pas encore le permis de conduire).

Train 874010 près du PN 14 ligne Vichy Riom 2016-05-06
Entre Thuret et Randan (Puy-de-Dôme), 6 mai 2016, 16 h et 1 seconde. Le TER 874010, assuré ce jour-là avec deux automoteurs AGC série X 76500, traverse la plaine de la Limagne, aux environs du point kilométrique 388, à une vitesse de pointe de 160 km/h. Sa prochaine gare, Vichy, est à 23 km.
Photo : Tabl-trai [CC BY-SA 3.0], via Wikimedia Commons

Statistiques générales : près de 100 000 kilomètres parcourus
En huit ans, j’aurai pris 1 833 trains (893 allers et 890 retours, somme = 1 783) entre Vichy et Clermont-Ferrand.
Avec d’abord les 1 611 trains empruntés entre le 8 septembre 2011 et le 11 décembre 2018 :
  • 1 594 (soit 99 %) l’ont été en TER, 14 ont été effectués en Intercités,
  • et un transbordement a été noté, le 19 mars 2014, à la suite d’un accident de personne impliquant un de mes trains empruntés.
  • Enfin, il faut ajouter deux trains hors parcours, détournés par Gannat, le 13 novembre 2013 et le 6 mars 2017, en raison, respectivement, d’un accident de personne et des conditions climatiques. La descente du train a eu lieu en gare de Saint-Germain-des-Fossés.
Sur cette période, la distance parcourue est d’environ 87 500 km, pour une vitesse moyenne d’environ 102 km/h.

Pour l’année 2019, le calcul se complique. Compte tenu des correspondances désastreuses (depuis le service annuel 2013) entre le sud et le nord de Clermont-Ferrand, et quittant le travail à 16 h 30, je n’ai pas d’autre choix que de prendre deux TER (marche à pied + attente + TER 874210 Brioude-Gannat + attente 28 min (!) + TER 875500 Clermont-Montchanin). Une autre solution existe : emprunter un bus T2C de la ligne C pour emprunter le train précédent et gagner 30 minutes.
86 allers-retours ont été comptabilisés :
  • tous les allers sont directs jusqu’à La Pardieu, soit une distance théorique d’environ 5 000 km ;
  • pour les retours, 48 trains [1] ont été pris depuis La Pardieu, les autres (38) [2] de Clermont-Ferrand, soit une distance de 4 840 km [3].
Le kilométrage des trains est donc de :
(1 611 + 38) × 54,278 + (86 + 48) × 57,890 = environ 97 300 km.

Une traction électrique très marginale : seulement 7,5 % de trains, et pour cause
La traction électrique sur les TER, réservée aux autres régions ? L’Auvergne était la seule région TER où il n’avait aucune circulation de TER en mode électrique, et pour cause : une seule relation potentielle pouvait être assurée en matériel 100 % électrique (Clermont-Ferrand – Moulins via Vichy). La région Auvergne avait commandé trois Z 27500 restreintes à cette ligne, elles ont été revendues à d’autres régions. Fin 2016, elle fait son grand retour avec l’arrivée des Régiolis (B 84500) pouvant aussi bien circuler en mode thermique ou en mode électrique.
Un Régiolis effectuant un trajet Moulins – Vic-le-Comte peut circuler en mode électrique jusqu’à Clermont-Ferrand (via Vichy), baisser le pantographe 25 kV en gare de Clermont-Ferrand pour continuer en mode thermique jusqu’à Vic-le-Comte, la ligne n’étant pas électrifiée au-delà.
141 des 1 833 trains ont été pris en mode électrique, soit exactement 1 train sur 13 (7,7 %).


Méthodologie
Pour calculer le kilométrage, il faut tenir compte du point kilométrique des gares précitées. Vichy est au PK 364,929 de la ligne de Saint-Germain-des-Fossés à Darsac ; Riom - Châtel-Guyon au PK 405,511 de la ligne de Vichy à Riom mais au PK 405,562 de la ligne de Saint-Germain-des-Fossés à Nîmes-Courbessac (dite aussi ligne des Cévennes) ; Clermont-Ferrand au PK 419,258 de la même ligne et Clermont-La Pardieu au PK 422,870 de la ligne vers Issoire. Le calcul de distance (qui est théorique car tout dépend où le train s’arrête, et pas forcément sur un repère de train qui n’a aucune signification sur les TER) tient compte du micro-écart de distance (51 m) à Riom. Par conséquent, la distance entre les gares de Vichy et de Clermont-Ferrand est de :
À ceci il faut ajouter La Pardieu, distante de 3,6 km de la gare centrale de Clermont-Ferrand.
  • Distance Vichy ↔ Clermont-Ferrand :
    (419,258 - 405,562) + (405,562 - 364,929) = 13,696 + 40,582 = 54,278 km
  • Distance Vichy ↔ Clermont-La Pardieu :
    (422,870 - 405,562) + (405,562 - 364,929) = 17,308 + 40,582 = 57,890 km



  1. Trains des 23/4, 25/4, 26/4, 29/4, 30/4, 2/5, 3/5, 6/5, 7/5, 9/5 ; 10/5, 20/5, 24/5, 27/5, 28/5, 6/6, 12/6, 17/6, 18/6, 19/6 ; 20/6, 21/6, 24/6, 28/6, 1/7, 2/7, 3/7, 4/7, 5/7, 8/7 ; 9/7, 10/7, 11/7, 15/7, 16/7, 17/7, 22/7, 23/7, 24/7, 25/7 ; 26/7, 29/7, 30/7, 2/8, 5/8, 6/8, 7/8, 13/8. Seul celui du 23/4 était direct.
  2. Les autres trains non listés dans l’élément ci-dessus.
  3. 48 × 57,890 + 38 × 54,278 = env. 4 800 km.

dimanche 1 septembre 2019

Twitter, quatre ans après.

Voilà quatre ans que je suis inscrit sur les réseaux sociaux… enfin sur l’un d’eux encore existant : Twitter. Ce réseau social, qui se caractérise par la limitation à 140 puis à 280 caractères, ne m’est pas très populaire. Et les statistiques parlent d’elles-mêmes.

En 2015, j’avais déjà un compte sur un réseau social de GAFA [1], mais celui-ci a fermé compte tenu de son impopularité retentissante, je veux parler de Google+. Comme par hasard, j’étais inscrit sur ce réseau social, ayant un compte Google depuis mars 2009 et toujours actif.
Le 1er septembre 2015, je me suis inscrit sur le réseau social Twitter. Mes publications se sont limitées à : tout ce qui est lié à l’actualité, ou à certaines émissions comme Quotidien. Mais en 2017, année où je me suis inscrit sur Facebook, j’ai de moins en moins de temps pour publier sur Twitter. Quant à Google+, je l’ai abandonné.

Scores très très faibles…
ActifPassif
Nombre de tweets28834
Nombre de retweets514
Nombre de « j’aime »22544
Nombre d’abonnements1788

En quatre ans, mes 288 tweets (comptage par le réseau social) n’ont reçu que 34 réponses, 14 retweets et seulement 44 appuis sur le cœur (par d’autres utilisateurs) à un de mes tweets. Une raison justifiant cette impopularité sur le réseau social.

Nombre de…Passifpar moispar anpar tweetPlafond
réponses340,718,50,118 (1 rép ts les 8,5 tw.)2
retweets140,293,50,049 (1 RT ts les 21 tw.)2
« j’aime »440,92110,153 (1 mt ts les 6,5 tw.)3


Il y a sans doute une raison : je n’ai jamais mis de photo de profil, ni daigné en mettre une, ce qui n’aide pas à gagner en popularité.
  • 34 réponses à mes tweets : 31 ont eu au moins une réponse, trois autres au moins deux, pas plus.
  • 14 retweets : 13 ont eu au moins un retweet, un seul (un message du 12 décembre 2016 à propos d’un nouveau train) a été retweeté deux fois. J’ai été retweeté pour la dernière fois le 22 novembre 2018, en revanche, je n’ai plus appuyé sur le bouton « retweet » depuis le 7 mars 2017 !
  • 44 « j’aime » : 32 (soit seulement 11 % !) ont reçu au moins un appui sur le bouton « j’aime » (le dernier remontant au… 14 janvier 2019, à propos de la traction thermique omniprésente sur mes trains), neuf en ont eu au moins deux et trois en ont eu au moins trois, pas plus. Au bout de quatre ans, la barre des quatre « j’aime » n’a malheureusement pas été atteinte.
En moyenne, je reçois respectivement une réponse tous les 8 tweets, un retweet tous les 21 messages et une mention j’aime tous les… 6,5 posts. Là où des comptes d’anonymes du même âge arrivent à des ratios de 100 j’aime et/ou retweets pour un seul tweet…

Je poste moins souvent
Sur la période allant du 1er septembre au 31 août :
  • 130 tweets la 1re année
  • 134 tweets la 2e année
  • 4 tweets la 3e année
  • 13 tweets la 4e année

Et mes abonnés ?
Personnellement, je ne connais pas mes abonnés qui sont : un bar à vin de Bourbon-l’Archambault, une association d’usagers du rail de l’autre côté de la région Auvergne-Rhône-Alpes, ou même un faux profil… ils ne sont que huit. Pas une de mes anciennes connaissances ne sait que je possède un compte sur Twitter…

En espérant que, pour cette cinquième année, je fasse de meilleurs scores, que j’ajoute une photo de profil pour que l’on me reconnaisse un peu mieux, que je sorte de l’anonymat… et que dans les notifications je reçois enfin « … ont aimé [ou retweeté] votre Tweet », « vous suit ».

  1. GAFA : Google, Apple, Facebook, Amazon.
Données arrêtées à 17h. Comptages personnels (j’ai épluché tous mes tweets).

Le nouveau réseau urbain MobiVie, un an après (2)

Il y a un an, le nouveau réseau urbain MobiVie opérationnel sur 6 des 39 communes de la communauté d’agglomération Vichy Communauté entrait en service (plus précisément le samedi 1er septembre).
Cette transition — que je n’avais pas pu suivre pour cause de stage à Moulins — s’est accompagnée notamment par le changement d’exploitant (ce n’est plus Keolis mais Transdev), la modification du parc roulant (en toute logique), mais également une nouvelle identité visuelle, sans laisser de côté les hétérogénéités toujours présentes dans les communes, niveau qualité de l’information voyageurs et de la desserte.
Cette partie est consacrée aux modifications à venir pour la saison 2019-2020, la deuxième de l’époque Transdev et la dixième sous ce nom commercial.

Des bus moins souvent ?
24 avr. 2019 (18160) – Bolloré Bluebus arrêté au nouvel arrêt les Darcins
Arrêt de bus Les Darcins, rue de Darcins, Cusset, 24 avril 2019. Depuis que cette photo a été prise, les bus de la ligne A empruntent la rue de Darcins via un nouveau pont. Ils la desservaient toutes les quinze minutes, ce qui ne sera plus le cas depuis le 2 septembre.
On apprend qu’à compter du 2 septembre 2019, date d’entrée en vigueur du service 2019-2020 sur le réseau de Vichy, la fréquence de la ligne A va diminuer. Avec toujours un départ à 6:30, il y a désormais un bus toutes les 20 minutes au lieu de 15 : les prochains départs seront donc à 7:00, 7:20, 7:40… puis toutes les 20 minutes jusqu’à 19:00, et la dernière course part à 19:30. Le samedi, le premier départ est à 7:20, avec un bus toutes les 40 minutes jusqu’à 13:00, puis toutes les 20 minutes au-delà jusqu’à la fin de service. Aucun changement en période estivale, les dimanches et les jours fériés.
On retrouve alors le même niveau de service qu’il y a dix ans, sur l’ancienne ligne 2 entre le collège Jules-Ferry et la gare SNCF.
Sur la ligne B, aucun changement par rapport à 2018 : un bus toutes les 20 minutes en semaine en période scolaire (30 minutes le samedi), 45 minutes l’été avec terminus systématique au stade aquatique. Offre identique le dimanche et les jours fériés.
Sur la ligne C, idem : un bus toutes les 20 minutes en semaine en période scolaire (30 minutes le samedi), 45 minutes l’été avec terminus systématique au stade aquatique. Mis à part le prolongement d’un bus au CREPS.
Sur la ligne D, enfin une amélioration : les Guinards et surtout, Abrest, sont mieux desservis. Abrest bénéficie enfin d’une desserte décente avec deux départs le matin et l’après-midi.
Sur la ligne E, toujours un bus toutes les trente minutes entre les Ailes et le centre de Cusset, mais avec une fin de service plus tardive.
Sur les lignes G, H et I, aucun changement.

Le bus plus cher ?
Autre changement, la tarification. Le prix du ticket de bus à l’unité passe de 1,15 à 1,25 €. Inchangé depuis cinq ans, il repart donc à la hausse et retrouve le niveau d’il y a dix ans.
En revanche, le prix des abonnements baisse.