lundi 27 septembre 2021

Rétrospective : 27 septembre 2011, mon premier ordinateur portable…

Le 27 septembre 2011, j’ai acquis mon premier ordinateur portable. Un choix qui va enfin m’autoriser une indépendance en informatique, car jusqu’à présent, j’utilisais l’ordinateur de bureau qui était partagé.

À cette époque, je venais d’entrer à l’université, à Clermont-Ferrand, et cela fait déjà deux semaines que les cours ont commencé.

Pendant les cours magistraux, je me contentais de rédiger sur une feuille volante — comprenez par feuille indépendante perforée au format A4 — le contenu, qui devenait au fil du temps assez difficile à comprendre, à gérer, et à assimiler en vue des examens terminaux qui se tiennent en fin de semestre, au tout début de l’année 2012.

Pourquoi un ordinateur portable ?

Certains étudiants auraient fait le choix d’un ordinateur portable avant même d’entrer à l’université. On suppose qu’ils avaient déjà acquis une indépendance informatique… À l’époque, les supports étaient variés : PC portable tournant sur Windows 7 (le système d’exploitation de l’époque), de grande taille (diagonale d’écran de 17,3" (pouces) ou de 15,6", voire moins) ou même des EEE PC avec une version limitée et réduite en fonctionnalités de Windows 7 (la version Starter) sur un écran de 10".

Quel choix, quels critères, quel achat ?

Jusqu’à présent, le PC que j’utilisais chez moi avait des caractéristiques déjà obsolètes. Il tournait sous Windows XP, n’avait que 512 Mio de RAM sur un disque dur de 80 Gio.

Je voulais un PC portable avec les caractéristiques suivantes :

  • un processeur Intel Pentium ou Core i3 ou i5 ;
  • une mémoire vive de 2 Gio minimum ;
  • un disque dur de 500 Gio ;
  • Windows 7 (si possible édition Familiale Premium) ;
  • un écran pas très grand (16 pouces maximum) pour qu’il rentre dans un sac ;
  • un pavé numérique inclus, pour taper les chiffres facilement, ce qui exclut les petits PC.

La commande s’effectua le 16 septembre 2011, non pas dans une boutique physique, mais sur Internet : pas sur Amazon ou CDiscount, ou le site Internet d’une enseigne spécialisée… mais sur le site Rueducommerce, qui avait la possibilité de payer en trois fois.

Le choix se portera sur le Packard Bell EasyNote TK85-JU-063FR pour un montant de 369 euros (éco-participation incluse) avec une garantie casse-vol de 1 an. S’ajoute à la commande le chargeur de batterie, fourni avec l’ordinateur, et une sacoche. Le montant total de la commande s’élèvera à environ 420 euros.

Commande reçue le 27 septembre

Les produits devaient arriver pour le 26 ou 27 septembre 2011 dans un tabac presse de la ville de Cusset, dans le département de l’Allier (03).

Le soir du 27 septembre 2011, l’ordinateur portable est enfin à ma possession, chez moi. Je pourrai l’utiliser comme « cahier » universitaire, vu que je vais écrire plusieurs dizaines de pages de cours magistral.

Caractéristiques de l’ordinateur

Un essai de rattrapage ?

L’installation du produit s’effectue convenablement, d’autant plus que je découvrais un nouveau système d’exploitation : Windows 7. J’ai zappé Windows Vista, en passant directement de Windows XP à Windows 7.

Quels logiciels fournis ? Beaucoup de logiciels fournis et ce ne sont pas les plus récents : eBay Worldwide, Packard Bell Games, Norton Internet Security… et la version complète d’Adobe Photoshop Elements 8.0 (sorti en 2009). Des logiciels que je n’utiliserai pas tous, il y en a même que je désinstallerai comme l’antivirus, remplacé par une solution maison.

L’ordinateur au quotidien

Pour rédiger les cours magistraux

L’objectif premier de mon nouvel ordinateur portable était la rédaction des cours magistraux, notamment ceux de géographie et d’histoire. Cette autonomie me permettait aussi de consulter l’environnement numérique de travail (ENT) de l’université sans avoir recours aux PC fixes, dans les salles qui en sont équipées, et en accès libre (la bibliothèque Gergovia était à l’époque fermée pour travaux de rénovation, on allait à la bibliothèque Lafayette, quelques centaines de mètres plus loin).

Les fichiers de cours magistral étaient rédigés à la suite, dans un fichier au format ouvert OpenDocument .odt, vu que j’utilisais la suite bureautique OpenOffice.org. Pas question de payer Microsoft Office, pourtant pré-installé alors qu'il existe des équivalents gratuits qui peuvent très bien faire le travail.

Microsoft, qui a sorti Windows 10 en juillet 2015, le propose gratuitement pour les PC ayant Windows 7 installé. J'aurai l'occasion de le tester, mais cela impose de rester continuellement près de son PC qui a tendance à chauffer au bout de quelques minutes d'inactivité à cause d'un processus tournant en arrière-plan...

Les faiblesses se montrent déjà au bout d’un an et demi…

Une batterie qui s’use et qui ne permet plus de rester trois heures… c’est normal

Au fil du temps, la batterie lithium-ion s'use et offre moins de capacité, cela est tout à fait normal. Au début, la capacité de X W (watts) permet, avec une consommation de 10 W/h (watts/heure), près de 4 heures d'autonomie en utilisant les outils de bureautique. Mais dès que l'on utilise Internet pour surfer, ou regarder des vidéos, cette consommation augmente.

Au bout d'un certain nombre de cycles de charge et décharge de la batterie, on ne retrouve pas la capacité initiale. Seulement moins d'un an et demi après, lorsque j'étais encore en première année de licence (celle de redoublement), la capacité est passée de 47 à 30 W, ce qui ne permet plus de tenir trois heures sans devoir à un moment recharger la batterie en la branchant sur le secteur. Avec un handicap au vu de la configuration des salles et des amphithéâtres : il y avait très peu de prises de courant (souvent au fond de la salle, parfois une seule dans certains amphis, et dans les salles de cours, souvent proche de l'entrée).

J'avais alors téléchargé un logiciel spécialisé pour surveiller l'état de la batterie. Et de constater qu'il n'était plus tenable de travailler deux heures voire plus dans un amphithéâtre. Une condition pour en profiter : charger la batterie au maximum.

Autres plantages connus

Il arrivait parfois que le PC ne répondait plus, tout seul. Il provoquait un message d'erreur matérielle vidéo, ou, simplement , ne répondait plus. Ce qui avait arrivé une dizaine de fois la première année.

Une solution pour une autonomie accrue : la tablette tactile, un autre univers

A cette époque, les tablettes tactiles étaient en train de se démocratiser. Il y a bien sûr l'iPad, mais trop cher, des concurrents se sont lancés  . On achètera une tablette tactile 10" 1 Gio de mémoire , un MPMAN MPDC110 tournant sous Android 4.1, sur un site marchand, pour 199 euros, avec une garantie souscrite par erreur.

Contrairement au PC portable tournant sur Windows, il faut installer des applications depuis une boutique appelée le Play Store. Dont des applications pour le traitement de texte et une suite bureautique équivalente.

Pour les dessins, ne pouvant trouver d'équivalent,  ils resteront tracés à la main.

Mais la tablette trouvera aussi ses limites : lenteur d'exécution de certains programmes, plantages inopinés (tout le travail est perdu si des sauvegardes ne sont pas prévues par les applications) — par figeage de l'écran, un écran de couleur fixe. 

La tablette  aura servi près de quatre ans. Au tout début   de 2017, pour remplacer l'ancien PC portable qui présentait un taux d'usure de batterie très élevé (pas plus d'une heure d'autonomie), j'ai changé de marque, toujours  avec un écran de 15,6",  acheté 549 € en magasin . Sa particularité, l'écran est tactile. Mais elle connaîtra une panne qui provoquera des BSOD (écrans bleus de la mort) causes par un problème de montage du disque dur. Renvoyé au service après-vente de l'enseigne, on aura tout tenté pour remettre en état l'ordinateur, qui sera restitué trois semaines plus tard , gratuitement tant que le produit était sous garantie (qui courait jusqu'à janvier 2019). La tablette, mise au placard, sera remise en service pour la saisie des cours durant une longue période. Désormais obsolète, elle n'est plus utilisée en 2021.

mercredi 8 septembre 2021

Déjà dix ans de train entre Vichy et Clermont-Ferrand

Ce 8 septembre 2021, cela fera dix ans jour pour jour que j’ai emprunté un train TER entre Vichy et Clermont-Ferrand.

Début de rédaction : 2 septembre 2021.

Un X 76500 en gare de Vichy (8 novembre 2014)
Gare de Vichy, 8 novembre 2014. Un autorail grande capacité (AGC) est stationné ici exceptionnellement dans la deuxième gare d’Auvergne (par sa fréquentation) en raison de travaux. Si les terminus ont été très rares, les AGC (ici dans la version 100 % thermique) auront été majoritaires malgré la caténaire présente depuis 1990.
Photo : Tabl-trai / CC-BY-SA 3.0, via Wikimedia Commons

Étant inscrit à l’université et n’ayant pas souhaité prendre de logement étudiant aux alentours du lieu d’études (la faculté de lettres et sciences humaines de l’université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand), et habitant près de Vichy, faire le trajet entre ces deux villes distantes de plus de 50 km et plus d’une heure de route était inenvisageable, d’autant plus que je n’avais pas le permis de conduire (je ne le passerai qu’en… 2015).

Premiers jours de train : s’y habituer

À l’époque, l’abonnement élèves étudiants apprentis (celui qui correspondait à mes besoins) coûtait 29,60 € en hebdomadaire et 89,60 € en mensuel.

Ce 8 septembre, si j’ai fait l’aller en voiture, je ferai le retour en train, en autorail de type X 76500 (AGC) en présentant en cas de contrôle le titre de transport qui se présentait sous forme de billets papier IATA avec photo faisant office de titre de transport, en attendant le titre dématérialisé proposé par la région Auvergne qui s’appelait Unikopass.

À l’approche de la date d’expiration du titre, il fallait passer en boutique pour recharger son titre de transport, très souvent sous la forme d’un abonnement mensuel, dont le prix augmentera successivement au fil des années :

Période Formule d’abonnement Tarif
septembre 2011 Abonnement élève étudiant apprenti 89,60 €
janvier 2012 Abonnement élève étudiant apprenti 90,90 €
septembre 2012 Abonnement élève étudiant apprenti 92,70 €
février 2013 Abonnement élève étudiant apprenti 94,80 €
janvier 2014 Abonnement élève étudiant apprenti 97,50 €
janvier 2015 Abonnement élève étudiant apprenti 100,00 €
septembre 2016 Abonnement TANDEM (TER et T2C) 106,50 €
septembre 2017 Abonnement TANDEM (TER et T2C) 108,40 €
décembre 2019 Abonnement travail combiné (TER et T2C) 140,10 €
janvier 2021 Abonnement travail combiné (TER et T2C) 141,90 €

En fin de mois, près de 90 € à dépenser à la SNCF dans l'espace de vente de la gare de Vichy. Cette montant augmentera au niveau national au fil du temps, l'abonnement mensuel passera ainsi à 90,90 €, puis 92,70 €, puis 94,60 € jusqu'à atteindre 100 € pile en 2015.

Au fil du temps, la passion du chemin de fer va l’emporter. Le matériel roulant, les locomotives, les infrastructures… Le chemin de fer sera ma nouvelle passion à côté des routes et des aménagements. A tel point que je vais acheter des revues ferroviaires dans la boutique Relay.

En dix ans, la gare de Clermont-Ferrand et sa desserte ont changé. Elle a eu droit à une rénovation d'ampleur entre 2013 et 2015.

Utilisation du train

Pour arriver à l'heure à la faculté, il faut emprunter le train partant une heure et quart avant le début des cours. Le temps de trajet du train n'étant que de trente minutes, cela me permet ensuite de continuer à pied (n'ayant pas souscrit d'abonnement complémentaire aux transports urbains — le réseau T2C) sur plus d'un kilomètre en direction de la faculté.

Certes, il existait une gare plus proche, la halte de La Rotonde, mais moins fréquentée et moins bien desservie.

Un temps de parcours imbattable… mais une traction électrique au départ inexistante !

L’infrastructure de la ligne, partagée avec les trains grandes lignes dont le Paris – Clermont-Ferrand, permet de circuler à une vitesse maximale de 160 km/h, et le temps de parcours de cette relation n’est que d’environ 30 minutes avec un seul arrêt intermédiaire à Riom. Sur autoroute, ce temps de parcours ne pourra jamais être atteint d’autant plus que limite de vitesse est de 130 km/h.

Cet automoteur Régiolis, livré quelques mois plus tôt, est engagé sur un TER en direction de Clermont-Ferrand (27 mai 2017)
Gare de Vichy, 27 mai 2017. Cet automoteur Régiolis, livré quelques mois plus tôt, est engagé sur un TER en direction de Clermont-Ferrand, pantographe levé (les pantographes 25 000 V sont au milieu des rames).
Photo : Tabl-trai / CC-BY-SA 4.0, via Wikimedia Commons

La ligne est électrifiée en 25 kV depuis 1990 ; entre Vichy (et au-delà) et Clermont-Ferrand, on trouvait il y a dix ans des X 76500, des X 73500, des X 72500, des rames réversibles régionales avec BB 67400, et les locomotives électriques bicourant (surtout des BB 26000, mais aussi des BB 22200). Mais, jusqu'en 2016, seuls les Intercités Paris – Clermont-Ferrand utilisaient la caténaire. Pour les TER, il faudra attendre fin 2016 et l’arrivée des nouveaux trains Régiolis.

La part de la traction électrique sur les seuls TER ne s’élève qu’à 24 % après dix ans. À fin 2019, ce taux n’atteignait même pas les 10 %, et à fin 2016… 0 %. Oui, zéro TER électrique les cinq premières années !

Les 2 694e et 2 695e trains

Le 8 septembre 2021, ce seront donc les 2 694e et 2 695e trains que j’emprunterai en utilisant un titre de transport lui aussi dématérialisé, la carte OùRA, à l’origine pour la région Rhône-Alpes, mais étendu à l’Auvergne en 2019, trois ans après la fusion des régions.

Combien de kilomètres parcourus ? On pourrait être tenté de faire 2 695 × 54,3 km (kilométrage approximatif) mais il faut aussi tenir compte que depuis 2019, je prends aussi le train pour aller au travail, mais jusqu’à la halte de La Pardieu. Utiliser cette multiplication est fausse car il manquerait un millier de kilomètres supplémentaires. Mais cela ferait quand même un peu plus de 146 000 km, soit plus de trois fois le tour de la planète Terre (à l’équateur) !

Les statistiques

Depuis le 8 septembre 2011, j’aurai pris 2 695 trains (y compris des correspondances), en 1 310 allers et 1 307 retours.

La majorité d’entre eux étaient origine Clermont-Ferrand (pour 1 095 trains, soit 40,6 %), Moulins-sur-Allier (943, 35,0 %) et Vic-le-Comte (230, 8,5 %) ; il n’y eut que deux trains terminus Vichy (0,1 %) tous sens confondus. Ces trains étaient pour terminus Moulins (921 trains, 34,2 %), Vic-le-Comte (695 trains, 25,6 %) et Clermont-Ferrand (498, 16,5 %) ; comme pour le sens inverse, seuls deux trains étaient terminus Vichy (0,1 %).

Les contrôles sont également peu fréquents même s’ils sont plus fréquents en gare plutôt qu’à bord : dans 798 trains sur 2 695 (29,6 % hors doublons très rares) contre 1 785 non-contrôles.

La part de la traction électrique s’élève à 24,49 % si l’on prend en compte tous les trains (donc les Intercités inclus), et 24,30 % si l’on ne prend en compte que les TER ; en allers-retours, ce ratio atteint à peine les 25 %.

Et au fil du temps ? Bilan à 5 ans, aux 1er janvier 2019, 2020, 2021 et à aujourd’hui.

Date 08/09/16
(5 ans)
01/01/19 01/01/20 01/01/21 08/09/21
NB trains 1 185 1 611 1 960 2 389 2 695
Allers 592 807 954 1 157 1 310
Retours 593 804 951 1 154 1 307
Contrôles 549
(46,3 %)
670
(41,6 %)
727
(37,1 %)
770
(33,3 %)
798
(29,6 %)
Traction
électrique[a]
5
(0,4 %)
(0,4 %)
121
(7,5 %)
(7,5 %)
195
(9,9 %)
(10,2 %)
479
(20,1 %)
(20,7 %)
660
(24,5 %)
(25,2 %)

[a] Ratio tous trains, puis tous trains aller-retour.

Informations provenant de relevés personnels.

mardi 7 septembre 2021

Rétrospective : 7 septembre 2018, fin de stage à l’université

Ce 7 septembre 2018 marquait la fin de mon stage, sous la direction de l’université Clermont-Auvergne. Après 86 journées et quatre mois passés dans un syndicat d’énergie, l’heure était enfin à la rédaction du rapport (qui avait commencé depuis plusieurs jours) et de ses annexes, avant la soutenance fixée trois semaines plus tard. Ce stage marque enfin la fin de ma carrière universitaire qui aura été plus longue que prévu, mais le choix de la structure n’aura pas été facile.

En première année de Master : un choix de dernière minute

En première année de Master Dynamique des territoires et nouvelles ruralités (DTNR), à l’institut d’Auvergne du développement des territoires (IADT), promotion 2016-2017, on avait le choix entre un stage et, dans l’impossibilité, un mémoire. Je me suis retrouvé dans le second cas, les candidatures au sein de collectivités territoriales ayant toutes échoué, soit sur un refus (pas assez montré ses preuves, ou offre déjà pourvue), soit sur une absence de réponse (qui vaut refus). Le mémoire était une solution de dernier recours. Avec pour thématique un projet d’aménagement local dans le périmètre du pôle d’équilibre territorial et rural (PETR) du Grand Clermont[1], j'obtiendrai la note de 14/20[2] le 1er septembre 2017, ce qui me permet de passer en deuxième année de Master[3].

En deuxième année de Master, c’est un stage, sinon rien

En deuxième année de Master, parcours Stratégies d’aménagement des villes petites et moyennes (STRATAM) cette fois-ci à l’université Clermont-Auvergne, chaque étudiant doit effectuer un stage en fin d’année, entre mars ou avril et septembre. La recherche s’effectue dès la fin de l’année civile 2017, les entreprises et collectivités déposant des offres de stage, rémunérées conformément à la législation.

De mon côté, la recherche de stage aura été difficile, en plus de mon handicap. Au début du mois de mars 2018, certains étudiants de ma promo avaient déjà leur convention de stage signée et pouvaient commencer le stage d’une durée maximale de six mois.

Après plusieurs candidatures infructueuses dans des collectivités territoriales ou même dans un service déconcentré de l’État (Direction départementale des territoires…), souvent pour cause de budget insuffisant ou pire, annulation de dernière minute, ce sera in extremis, le 27 avril 2018, que j’aurai signé ma convention de stage au syndicat départemental d’énergie de l’Allier (SDE 03).

Quatre mois de stage pour de la cartographie dans différents domaines (électricité, gaz, éclairage public,  unités de méthanisation, politiques intercommunales...) qui aboutiront par la production de dizaines de cartes, et d’un rapport.

Après une année de Master pas si difficile que je ne pensais, et des notes dépassant 10/20 dans certaines matières (sans oublier cet exceptionnel 18/20 dans un projet collectif sur les mobilités), il faut espérer une note supérieure à la moyenne, sans compensation possible[4].

Dans un prochain billet : le verdict.


[1] Il s’agit du projet d’aménagement d’une voie verte, où l’on annonçait une mise en service pour fin 2019, mais actuellement, il est partiellement réalisé.

[2] Moyenne semestrielle de 13/20 et annuelle de 12,97/20.

[3] Il n’y a pas d’admission conditionnelle en Master 2, contrairement à la licence. Si en licence on pouvait passer en deuxième année avec un seul semestre validé ou 40 crédits ECTS (European Credit Transfer System, système européen de transfert de crédits), ou en troisième année avec la première année et un semestre de la deuxième année, soit 90 crédits, le passage en Master 2 requiert l’année complète de Master 1 validée.

[4] Une note inférieure à 10/20 au stage invalide l’année, ce qui implique un redoublement.