L’année 2021 se termine, par des bonnes et des mauvaises nouvelles, sur le plan personnel.
Début de rédaction 29 décembre 2021 - Publication 31 décembre
Les tops
Un CDI après plusieurs sessions d’intérim. Travaillant dans la cartographie depuis fin avril 2019 via plusieurs sociétés et agences d’intérim pour le compte d’Enedis, j’ai enchaîné les missions d’intérim. Trois contrats de travail émanant de trois entreprises différentes. Le premier, qui a commencé le 24 avril 2019 et reonduit après une période d’essais de trois mois, n’a pas pu être reconduit à son expiration, le 24 avril 2020, à cause d’un confinement lié à l’arrivée d’un nouveau virus. Ce qui m’a contraint à me réinscrire à Pôle Emploi au cas où je devrais rejoindre une autre entreprise.
En octobre 2020, on m’a proposé une mission de cartographe à Clermont-Ferrand, mais trois mois après mon entretien, on m’apprend que cette mission se déroule à Toulouse, j’ai décliné. J’ai, depuis, un troisième contrat de travail d’une agence d’intérim qui s’est terminé le 20 avril 2021.
En avril 2021, je signe un contrat de travail à durée indéterminée de chantier auprès d’une entreprise, pour une durée d’un an, auxquels plusieurs collègues de travail y sont déjà membres. Il s’agit d’un projet consistant à repérer, analyser et contrôler les branchements à la moyenne échelle à partir de relevés terrain et de données grande échelle. Les marchés étant renouvelés à la mi-janvier, les résultats ont été dévoilés le 17 décembre et c’est la douche froide en découvrant que mon employeur n’a pas remporté le marché pour les étapes en cours (préparation des dossiers et contrôle des données intégrées). Quelques jours plus tard, je reçois un recommandé m’informant d’une convocation à un entretien préalable (à un licenciement pour motif personnel, qui en fait est lié à la fin du marché et non à un comportement alarmant). D’ici mi-janvier, je continuerai pour le compte d’une autre entreprise.
Deux écrans pour travailler et un mini-PC plus rapide. Lassé de devoir travailler avec des PC lents et peu réactifs (j’ai un PC portable depuis début 2017 mais qui fonctionne très lentement et qui ne sert plus que comme intermédiaire), l’employeur avec qui je travaillais m’a offert deux écrans de 23 pouces (comme au travail même si ce sont des écrans plus petits : 22 pouces) pour travailler plus aisément. J’ai dû commander un mini-PC pour pouvoir exécuter les tâches enfin plus rapidement, que l’on trouve plus facilement sur Internet que dans les magasins physiques.
La réception des deux écrans me permet enfin de prendre plus d’espace sur mon bureau, avec une résolution de 1920 × 1080.
Traction électrique sur les TER : ça augmente, ça augmente… Voilà dix ans que j’emprunte un train, et la traction électrique est désormais utilisée (entre Vichy et Clermont-Ferrand) par un train TER sur quatre (26 %). Cette part était de 20 % l’année précédente, approchante de 10 % il y a deux ans et… 0 % il y a cinq ans.
Mi-top, mi-flop
Moins de 8 000 km par an avec ma voiture. Depuis juillet 2020, je suis enfin propriétaire d’une voiture, d’une marque japonaise. Prévoyant de partir avec 10 000 km par an, je ferais bien moins que prévu, à cause des restrictions liées à la crise sanitaire.
Date (événement) | Kilométrage | Moyenne km mensuelle |
---|---|---|
18 juillet 2020 (acquisition) | 5 km | — |
13 septembre 2020 (carburant) | 1 991 km | 1 063,2 |
1er janvier 2021 | 3 313 km | 604 |
2 juillet 2021 (visite des 1 an) | 6 430 km | 561 |
18 juillet 2021 (1 an) | 6 678 km | 556 |
1er septembre 2021 | 8 263 km | 614,3 |
1er novembre 2021 | 9 679 km | 625,5 |
1er janvier 2022 | 10 802 km | 625 env. |
Le kilométrage moyen, qui était de plus de mille kilomètres par mois après seulement deux mois de conduite, chute à 800 km par mois à la fin octobre puis à près de 600 km par mois au 1er janvier 2021, à cause du deuxième confinement et aussi du choix d’utiliser les transports collectifs (train, bus). Les trajets se limitent à la liaison domicile ↔ parking gare SNCF (où je paie un abonnement mensuel) et avec la consommation élevée, réduit l’autonomie du véhicule, tous pleins faits, à moins de 500 km (526 km en moyenne).
Les flops
Les réseaux sociaux, l’amitié délaissée et les partages quasi inexistants. 2021 est ma cinquième année de présence sur Facebook et la septième sur Twitter, avec des résultats peu convaincants (développement suivra, ultérieurement dans cet article ou dans une autre publication).
Et ce blog alors ? A-t-il atteint les 20 000 vues ? Oui, tant mieux. Mais toujours aucun commentaire reçu y compris après validation.